Suivre ce blog
Administration
Connexion
+
Créer mon blog
Publicité
ZEBRURES
ZEBRURES
>
Categories
>
Poésie
1 novembre 2008
ne rien perdre pas une miette sur la table du
ne rien perdre pas une miette sur la table du banquet ne rien laisser traîner au bord de la nuit au coude des racines en chaises
Publicité
Publicité
1 novembre 2008
visage lumière et recoins à découvrir lagunes et
visage lumière et recoins à découvrir lagunes et parcelles d’ombre visage à toi pour toujours coquille dans l’eau
30 octobre 2008
et si j’étais un loup rêveur énorme et un grand
et si j’étais un loup rêveur énorme et un grand blanc dévoreur d’hommes je ne sais plus sous la lune qui je suis ne suis plus dans ces nuits de lassitudes d’extases face au néant.
30 octobre 2008
la folie ou l’être dedans ne pas mettre le nez
la folie ou l’être dedans ne pas mettre le nez hors du trou et briquer le sol comme un fou d’intérieur !
30 octobre 2008
une plage dépecée serviettes mortes chaises
une plage dépecée serviettes mortes chaises défoncées une plage déserte notre soleil clôt son œil à prismes je pense je songe j’angoisse je ris une plage de mort noire sans abris.
Publicité
Publicité
30 octobre 2008
j’ai besoin de toits d’ardoises mes miroirs polis
j’ai besoin de toits d’ardoises mes miroirs polis j’ai besoin d’air de vents de portes langoureuses d’être emmitouflé de sable jusqu’à la tête criant de me battre dans le travers de tout sabre craint
30 octobre 2008
des cigales de fer des fleurs mangeuses d’air des
des cigales de fer des fleurs mangeuses d’air des lignes dans l’horizon des pluies bizarres une sensation d’étrangeté île du renversement
30 octobre 2008
merveille azuréenne et côte d’un soleil le temps
merveille azuréenne et côte d’un soleil le temps a un autre là-bas un lien puni une racine enterrée une même souffrance
30 octobre 2008
des prairies entières d’herbivores paisibles
des prairies entières d’herbivores paisibles comateux engloutissement de « flowers » d’un rien parfumées
30 octobre 2008
dans les aplats du jour sous une forêt de nus à
dans les aplats du jour sous une forêt de nus à demi somnolent il conta poète défroqué pupilles et dialectes d’un autre sommet un Homme immense
Publicité
Publicité
<<
<
10
20
30
40
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
60
70
80
90
100
>
>>
Suivre le_son_du_vide
Publicité
Publicité