ZEBRURES

26 avril 2017

Poésie

Quand tout annonce la perte Noir velours de cieux J'écoute l'orage d'alors Bouleverser jusqu'à la pluie Nicolas Vasse

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26 avril 2017

Poésie

En elle toute parole porte le soir Le soir s'abattant sur les yeux Le soir qui rendra ta vérité Limpide aux yeux des autres Nicolas Vasse

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26 avril 2017

Poésie

La peur est une souche figée de silence Tes heures retiens les fermement Nicolas Vasse

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13 juillet 2010

je n'est pas un point ni mietteil éclate diffuse

je n'est pas un point ni miette il éclate diffuse se largue aux géométries variables s'acclimater reposer je ou la poubelle saisie des restes

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13 juillet 2010

j'étais la nudité des immeublesderrière abattu

j'étais la nudité des immeubles derrière abattu les branches de la clairière le soleil tournait il avait la peau du soir fumeux j'étais l'homme à tout vivre et rien ne sortait de cette bulle.

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2 juillet 2010

le temps est humide sur la chairle soleil colle

le temps est humide sur la chair le soleil colle et tend la crème sous des ongles blanc pas cassé. la flotte approche mouettes dans la mer bleuâtre de petits crabes le ciel est vite une idée vaste.

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1 juillet 2010

le -temps- se couvrede la tête aux piedsse mesure

le -temps- se couvre de la tête aux pieds se mesure inexact du lever d'entre arbres au coucher dans l'herbe les brins fusionnent sous l'électrique du nu qui serpente en eaux

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1 juillet 2010

prendre racine au sensle plus fort

prendre racine au sens le plus fort posséder. posséder fil de l'eau. prendre terre-femme et liqueur au nom de vie.

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1 juillet 2010

je prenais la sagesse en particulesune tasse de

je prenais la sagesse en particules une tasse de thé à la fois je riais accoudé à la table l'arbre de jadis je prenais le temps de m'y extraire un regard à la fois nomade et boue.

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1 juillet 2010

je n'écrivais pour personneseulchaque texte du

je n'écrivais pour personne seul chaque texte du hasard pur. je voudrais vivre montagne. je serai moi au centre moi. je vivrai les saisons seul. l'espace à engendrer autour du feu se continuera -sans- j'écoute venir le chemin ce long rythme de la poitrine....

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