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ZEBRURES

27 mai 2013

c'est dans l'imaginaire dans le sous-bois du là

c'est dans l'imaginaire dans le sous-bois du là cirque que s'enchantent les bruissements de ces longues floraisons dans la suite interminable à n'en plus finir jardins de poussières élan cors nicolas vasse
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27 mai 2013

orage outremer terre brune ça dérive délicat sous

orage outremer terre brune ça dérive délicat sous le sel de la peau d'hier nicolas vasse
27 mai 2013

quelques traces une frontière le visible ses

quelques traces une frontière le visible ses parois un seul écho par seconde un homme sur l'immensité rouge des vivants nicolas vasse
25 mai 2013

quel silence partout dans les métros sous le sol

quel silence partout dans les métros sous le sol carrelé blanc de têtes une pensée revient au pays un corps sans nombre nicolas vasse
24 mai 2013

décider comme abattre cartes sur table ou réduire

décider comme abattre cartes sur table ou réduire la silhouette sur la pierre fendre le bois et crier sur les vagues décider comme élaguer ses propres voix nicolas vasse
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24 mai 2013

parce que je ne crois pas que l'on puisse

parce que je ne crois pas que l'on puisse appartenir à la nuit ni celle-ci céder à nous tous si étrangers les uns aux autres se dérober à l'aveugle sur les heures sur les dos cassés trou béant trou de masse dans un imperméable sombre opaque rutilant parce...
24 mai 2013

c'est venu de loin sans appel un trébuchet dans

c'est venu de loin sans appel un trébuchet dans l'ombre des feux qui annoncent une bataille de sangs d'espoirs de corbeaux cornus nicolas vasse
24 mai 2013

devenir arriver de quelque part aller vers une

devenir arriver de quelque part aller vers une suite de venir se précipiter d'une forme à l'autre dans un même sens dans l'absence de nicolas vasse
24 mai 2013

définir seul la vitesse d'un mouvement l'ampleur

définir seul la vitesse d'un mouvement l'ampleur d'un phrasé dans l'espace la capacité des murs à retenir l'os nicolas vasse
24 mai 2013

rires éclaboussures d'un vivre avant quelques

rires éclaboussures d'un vivre avant quelques rues les mêmes sons dans l'odeur de terre humide même ici l'aquarelle tombe démaquillant les âmes sauvages nicolas vasse
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